Car il n’y a jamais rien d’innocent chez Haraway, l’écriture moins que le reste – que l’on identifie l’absence d’innocence à la « stratégie » ou qu’on l’entende comme la reconnaissance du fait que nous sommes toujours engagés par les conséquences de ce que nous faisons, et que ces conséquences sont inextricablement liées au fait que nous sommes « intéressés » dans des choix qui engagent d’autres que nous ; les mots sont agissants, la manière de raconter les histoires importe.
Recension de When species meet de Donna Haraway, parue dans un numéro spécial de la revue Critique, dédié à la question de la libération animale. Lire le texte complet.